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En 2025-2026, se loger coûte cher, mais des leviers existent. Un premier achat immobilier redevient possible si l’on active les bons dispositifs. Ainsi, vous pouvez viser un plan d’action concret et chiffré.
PTZ, frais et règles d’emprunt : cap sur 2025-2026
Le prêt à taux zéro est prolongé jusqu’en 2027. Sa part finançable passe, pour certains revenus, à 50 %. Le neuf en collectif reste favorisé dans les zones tendues. Votre premier achat immobilier gagne alors en solvabilité.
Les frais d’acquisition jouent aussi beaucoup. Dans le neuf, ils tournent autour de 2 % à 3 %. Dans l’ancien, ils avoisinent souvent 7 % à 8 %. De plus, une TVA à 5,5 % s’applique dans certains périmètres, ce qui allège un premier achat immobilier.
Les règles du HCSF demeurent, mais un cadre existe. Le taux d’endettement cible reste proche de 35 %. La durée peut aller jusqu’à 25 ans dans la plupart des cas. En revanche, la qualité du dossier pèse sur un premier achat immobilier.
« Chaque dixième de point gagné change votre projet. »
BRS et foncier maîtrisé : des prix encadrés, des mensualités allégées
Le Bail Réel Solidaire dissocie le foncier du bâti. Vous achetez les murs et louez le terrain via un OFS. Par conséquent, le prix d’achat est souvent inférieur de 20 % à 40 %. Ce cadre peut sécuriser un premier achat immobilier en cœur de ville.
À découvrirLivret A : pourquoi l’État ouvre la voie au financement de nouvelles centrales nucléaires ?La TVA réduite à 5,5 % s’applique à certains programmes BRS et secteurs ciblés. Ainsi, le coût global diminue à la remise des clés. De plus, la redevance foncière reste encadrée, ce qui stabilise le budget d’un premier achat immobilier.
- Vérifier l’éligibilité au PTZ selon votre zone.
- Comparer neuf, ancien avec travaux, et BRS.
- Simuler frais d’achat, assurance et garantie.
- Interroger la banque et un courtier sur 25 ans.
- Identifier des aides locales cumulables.
Crédits complémentaires et coups de pouce locaux
Le Prêt Accession Sociale et le Prêt Conventionné servent de relais. Leurs taux plafonnés et leur cadre peuvent aider à équilibrer la mensualité. Dans certains cas, des aides au logement peuvent s’adosser au prêt. Ainsi, votre premier achat immobilier gagne en stabilité.
Le Prêt Action Logement cible les salariés du privé. Selon la situation, il peut aller jusqu’à 40 000 € à taux réduit. Aussi, il se cumule avec un crédit bancaire classique. Ce complément fait la différence pour un premier achat immobilier.
Des villes, métropoles et régions proposent des aides dédiées. On trouve des prêts à taux zéro locaux, des subventions ou des exonérations temporaires. En bref, ces appuis sont souvent cumulables si les conditions sont remplies. Ils réduisent l’effort d’un premier achat immobilier.
Assurance, garanties et frais : où gagner des euros
L’assurance emprunteur pèse lourd sur 20 ans. La loi Lemoine autorise la résiliation à tout moment. De plus, le questionnaire de santé disparaît sous 200 000 € pour certains profils. Cette souplesse peut alléger un premier achat immobilier.
La garantie par caution coûte souvent moins qu’une hypothèque. Elle évite parfois des frais de mainlevée en sortie. Par conséquent, le coût total du crédit baisse sensiblement. Ce choix renforce la faisabilité d’un premier achat immobilier.
Se projeter 2025-2026 : énergie, travaux et trajectoire des taux
Un logement ancien peut exiger des travaux. MaPrimeRénov’ cible des rénovations précises et encadrées. Aussi, un prêt travaux peut compléter l’enveloppe à faible coût. Cette combinaison valorise un premier achat immobilier dans la durée.
Les taux évoluent avec l’inflation et les banques centrales. En 2024, une détente s’esquisse, sans garantie durable. Désormais, un montage sur 25 ans lisse la mensualité, quand c’est adapté. Cette approche garde du souffle après un premier achat immobilier.
À découvrirChauffage d’appoint: une marque brade son prix pour rester au chaud tout l’hiver, mieux que Gifi, Action et IkeaPréparez un dossier solide et clair. Un apport de 10 % à 20 % rassure, même s’il n’est pas toujours exigé. Ainsi, épargne, stabilité d’emploi et justificatifs à jour fluidifient le passage en comité. Votre projet gagne alors en crédibilité et en vitesse de traitement.
Crédit photo © LePointDuJour

