Vous rêvez d’une électrique abordable Renault et Stellantis relancent le leasing social dès septembre à moins de 150 euros par mois

Leasing social 2025: électrique à moins de 150 €/mois. Renault et Stellantis au rendez-vous. Modèles, critères, coûts, démarches !

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Le leasing social 2025 revient sur le devant de la scène, avec des offres annoncées à moins de 150 € par mois. Les groupes Renault et Stellantis s’alignent pour fournir des citadines électriques ciblant les ménages aux revenus modestes. Un soulagement attendu pour ceux qui jonglent entre budget, trajets domicile-travail et hausse du carburant.

Le cap des 150 € par mois, un signal fort

Des offres de LLD électriques sous la barre des 150 € par mois se profilent. L’objectif vise à rendre l’électrique atteignable sans apport. Les constructeurs calibrent leurs contrats sur des durées de 3 à 4 ans. Le kilométrage reste proche des usages réels des salariés périurbains.

Le gouvernement veut élargir l’accès tout en gardant un cadre simple. L’enjeu porte sur le volume de véhicules et la rapidité des livraisons. Les files d’attente de 2024 ont montré la demande. Les offres Renault et Stellantis arrivent au bon moment.

“Pouvoir rouler en électrique à moins de 150 € par mois change la donne pour des foyers qui n’avaient pas de marge.”

Quels modèles dans la cible Renault et Stellantis ?

Côté Stellantis, les citadines électriques de nouvelle génération se positionnent bien. On pense à la Citroën ë-C3 et à des offres affinées autour des Peugeot e-208 et Opel Corsa Electric. La stratégie consiste à sécuriser un coût d’usage bas. Les usines européennes servent de base à ces volumes.

Chez Renault, le cœur de gamme se prépare avec des modèles urbains en LLD optimisés. Le constructeur vise des mensualités contenues grâce au bonus écologique et à un TCO maîtrisé. Les citadines assemblées en Europe gardent une longueur d’avance. Les commandes s’ouvriront selon les stocks et les créneaux alloués.

Qui pourra en bénéficier en 2025 ?

Les critères devraient suivre l’esprit de 2024. Le revenu fiscal de référence par part restera le pivot de l’éligibilité. Les actifs contraints par la distance domicile-travail seront regardés de près. Les demandes seront vérifiées via un parcours en ligne et des justificatifs simples.

Le dispositif vise les ménages modestes qui roulent beaucoup pour le travail. La distance domicile-travail et le kilométrage annuel pèseront dans la balance. Les foyers non imposables et les premiers déciles restent prioritaires. Des précisions arriveront avant l’ouverture des réservations.

“Je compte chaque euro à la fin du mois. Si le leasing social 2025 tient ses promesses, je peux lâcher mon vieux diesel.”

Ce cadre s’ajoute au plafonnement de la mensualité, sans apport ou avec un apport symbolique. Une assistance et l’entretien restent souvent inclus pour limiter les mauvaises surprises. La recharge n’est pas comprise, mais des aides pour une borne à domicile existent. Les offres doivent rester claires et lisibles sur mobile pour éviter toute confusion.

Ce que couvre la mensualité

La plupart des offres se font en LLD avec une durée type de 36 à 48 mois. Le contrat comprend l’entretien et l’assistance, souvent avec un kilométrage autour de 10 000 à 12 000 km/an. Au-delà, un coût au kilomètre s’applique. L’assurance peut être intégrée ou proposée à part selon les modèles.

La recharge reste à la charge de l’usager. Les trajets quotidiens se couvrent avec une prise renforcée ou une borne domestique. La nuit, le kWh coûte moins cher qu’un plein d’essence au litre. Le budget mensuel reste stable et prévisible.

Combien ça coûte vraiment au quotidien ?

Le cœur du sujet, c’est le coût total d’usage. Une mensualité sous 150 € se combine à une électricité souvent facturée entre 0,15 et 0,25 €/kWh à domicile. Pour 1 000 km, on consomme autour de 130 à 170 kWh selon le modèle. Le budget “rouler” reste inférieur à un véhicule thermique comparable.

Les pneus et les révisions coûtent peu, car la mécanique d’un VE est simple. Les freins s’usent moins grâce à la régénération. Le poste stationnement peut baisser dans certaines villes. Des réductions locales existent pour les véhicules électriques.

Pour la recharge publique, le tarif varie selon les opérateurs. Une carte d’accès multi-réseaux aide à y voir clair. On recharge à bas coût sur borne lente. On utilise la charge rapide pour les imprévus et les longs trajets.

Bornes et habitudes de charge

À la maison, une borne 7,4 kW couvre la plupart des usages. Le soir, on branche et on repart chaque matin avec le plein d’autonomie. Au travail, une prise partagée peut suffire. Un simple planning évite les files et les tensions.

En immeuble, le droit à la prise simplifie l’installation. Le syndic organise le raccordement et la facturation. Des aides publiques réduisent la facture. On fixe une consigne de charge à 80 % pour ménager la batterie.

Mode d’emploi pour ne pas rater sa demande

Rassemblez votre avis d’imposition et votre RFR/part. Listez vos trajets domicile-travail et votre kilométrage annuel estimé. Préparez une preuve de votre lieu de travail. Et vérifiez la présence d’une borne ou la faisabilité d’une installation.

Comparez deux ou trois offres Renault et Stellantis. Regardez la durée, le kilométrage et ce qui est inclus. Surveillez l’option d’assurance et les frais de restitution. Négociez le kilométrage pour éviter les pénalités.

Anticipez la livraison et les délais liés aux quotas. Demandez une alternative si le modèle visé est en rupture. Visez une citadine efficiente pour limiter le coût de recharge. Et gardez un œil sur les fenêtres d’inscription pour 2025.

Crédit photo © LePointDuJour


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127 avis sur « Vous rêvez d’une électrique abordable Renault et Stellantis relancent le leasing social dès septembre à moins de 150 euros par mois »

  1. Je ne vois pas comment Renault et Stellantis vont pouvoir maintenir un prix aussi bas à long terme sans impacter la qualité.

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  2. La transition vers l’électrique est bienvenue, mais les délais de livraison risquent d’être le cauchemar des acheteurs.

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  3. Effectivement, je pense que rouler électrique coûtera moins cher à long terme, mais il faut d’abord l’investissement initial.

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  4. L’idée est excellente, mais augmenter la demande pourrait également augmenter les délais d’attente pour certaines pièces.

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  5. Prendre en compte le coût d’entretien et l’assurance fait comprendre que c’est un pas de plus vers le vihicule abordable, mais pas suffisant.

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  6. Je suis impressionné par l’initiative de proposer des voitures électriques à un prix abordable, mais j’espère que cela ne deviendra pas un piège à coûts cachés.

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  7. Enfin une bonne nouvelle pour les familles aux budgets serrés, l’accès à l’électrique devrait être pour tous !

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  8. Moins de 150 € par mois ? C’est vraiment possible ça ? J’ai encore des doutes sur l’application réelle de cette mesure.

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  9. Renault et Stellantis qui font une offre pareille, c’est un peu inespéré. Espérons qu’il n’y ait pas trop de conditions !

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  10. Qu’en est-il de la revente des voitures après le leasing ? On peut les acheter à la fin du contrat ? Encore des zones d’ombre !

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  11. J’ai l’impression que les groupes automobiles veulent juste donner le change aux exigences gouvernementales, mais tant mieux si ça profite aux consommateurs !

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  12. J’espère qu’il n’y aura pas d’exagération sur les pénalités kilométriques comme souvent avec les leasing.

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  13. On parle souvent des bénéfices pour la planète, mais si tout le monde se rue sur l’électrique, ça ne va pas aussi poser problème d’une certaine manière ?

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  14. L’idée de mensualités basses est excellente, maintenant, reste à savoir si les gens éligibles le sauront suffisamment tôt.

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  15. Que le leasing soit proposé sans apport attire, mais c’est souvent compensé par des mensualités plus hautes que prévues.

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  16. Je ne suis pas sûr que ces nouveaux véhicules conviennent à tout le monde avec les habitudes de conduite actuelles.

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  17. Qu’est-ce qui garantit que les voitures à 150 € par mois seront clairement disponibles pour ceux qui en ont le plus besoin ?

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  18. Des économies sur la pollution certes, mais que ferons-nous des vieilles voitures? Il faut gérer cette transition.

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  19. Je suis ravi de voir que ces offres prennent en compte les bas revenus, mais faut-il encore rentrer dans les clous de l’éligibilité.

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  20. Tout cela devra être testé dans le monde réel, parce que les promesses en papier peuvent sembler plus séduisantes qu’elles ne le sont.

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  21. Renault et Stellantis se lancent dans le leasing social, j’espère qu’ils répondront bien à la demande croissante.

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  22. Je suis intrigué par cette capacité à proposer de tels tarifs, on verra ce qu’en disent les premiers utilisateurs.

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  23. Pourvu que cela n’engendre pas une guerre des constructeurs où la qualité des voitures passerait au second plan.

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  24. Annonce alléchante mais à surveiller de près, on ne sait jamais ce qui peut être oublié dans les petits caractères.

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