Comment réduire naturellement le Cholestérol en 1 mois selon cette diététicienne ?

Découvrez les vérités sur le cholestérol et son rôle vital, ainsi que des conseils pour le réduire efficacement en un mois.

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Quand on entend parler du cholestérol, cela évoque souvent des images de plaques artérielles et de risques cardiaques. Fabriqué par notre propre organisme, le cholestérol joue un rôle vital dans la production hormonale. Cependant, un excès peut se révéler dangereux pour la santé cardiovasculaire. Voici ce que recommande une diététicienne pour réduire naturellement et efficacement le taux de cholestérol en seulement un mois.

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Qu’est-ce que le cholestérol et pourquoi est-il important ?

Le cholestérol est une molécule lipidique essentielle produite naturellement par le foie. Elle participe à la synthèse de la vitamine D, d’hormones comme les œstrogènes et la testostérone. Il contribue aussi à la formation de certaines membranes cellulaires. En d’autres termes, sans cette substance grasse, certaines fonctions cruciales de notre corps ne seraient pas exécutées correctement.


Néanmoins, tout n’est pas rose au pays du cholestérol. Il se divise principalement en deux types : le cholestérol LDL (souvent qualifié de « mauvais ») et le cholestérol HDL (« bon »). Chaque type a son rôle. Cependant, en des quantités inappropriées, surtout le LDL, des risques pour la santé peuvent survenir. Cela inclut notamment des maladies cardiovasculaires.

Les rôles cruciaux du cholestérol dans l’organisme

Saviez-vous qu’une partie non négligeable de la composition cérébrale humaine est faite de cholestérol ? Outre sa participation à la structure cellulaire, il est impliqué dans la transmission nerveuse. Ainsi, il facilite le bon fonctionnement cognitif. De plus, sa fonction dans la digestion est indéniable grâce à sa conversion en acides biliaires. Ces acides aident à l’absorption des graisses alimentaires dans l’intestin.

Ainsi le cholestérol n’est pas uniquement l’antagoniste perçu dans certaines campagnes sanitaires. Son équilibre est essentiel pour une santé optimale. Cela rend les interventions diététiques préventives importantes plutôt que dramatiques lorsque son niveau augmente.

Les risques d’un excès de cholestérol

Avoir ses chiffres contrôlés régulièrement s’avère crucial. En effet, trop de mauvais cholestérol (LDL) favorise l’accumulation de dépôts graisseux dans les artères. Cela peut causer des blocages dangereux. Ces bouchons, connus sous le nom de plaques athérosclérotiques, sont des déclencheurs notables d’accidents vasculaires cérébraux et d’infarctus du myocarde.

Plus encore, un déséquilibre entre ces lipoprotéines peut influencer négativement la régulation de la pression artérielle. Cela augmente ainsi les risques associés. Prendre soin de diminuer ces paramètres est donc, selon les experts, synonyme d’investir dans sa longévité. Cela améliore aussi sa qualité de vie future.

L’évaluation des facteurs de risque personnels

Outre les niveaux élevés de LDL, plusieurs autres facteurs contributifs doivent être surveillés. L’hérédité occupe une place clé et pourrait compromettre les efforts malgré une hygiène de vie irréprochable. Le tabagisme, l’obésité, la sédentarité et même certaines maladies chroniques comme le diabète accentuent ce spectre de dangerosité.

En ciblant tant l’ADN que le mode de vie, mettre l’accent sur la réduction naturelle du cholestérol s’apparente aussi bien à une démarche personnelle intuitive. Elle est aussi un acte conscient d’auto-préservation.

  • Tabagisme : Favorise l’accumulation de LDL tout en diminuant le bon cholestérol HDL.
  • Sédentarité : La pratique régulière d’exercices physiques dynamise l’augmentation de HDL.
  • Régime alimentaire : Les mauvaises habitudes alimentaires provoquent une montée en flèche des niveaux de mauvais cholestérol.
  • Génétique : Bien que modifiable en environnement, il représente souvent un facteur incontournable.

Une approche nutripratique : manger ses armes !

Pour Alice Hantz, diététicienne, introduire des changements adaptés à son assiette présente un potentiel immense pour rectifier ces soucis lipidiques intempestives. Mais quels aliments inclure ou éviter pour viser cette optimisation en 30 jours ?

Alimentation pour booster le bon cholestérol

Des recherches estiment que consommer chaque jour 25 à 30 grammes de fibres solubles issues d’aliments tels que fruits, légumes et légumineuses résulte en une baisse notable de LDL. Artichauts, brocolis, pommes, oranges… la nature regorge de solutions appétissantes multipliant les vitamines bénéfiques et antioxydants.

D’autant plus, amandes et noix sont encensées grâce à leurs riches apports en oméga-3. Optez pour un mélange craquant quotidien contribuant activement à écarter les mauvaises graisses du flux sanguin.

Réduire la consommation de graisses saturées

Limitez beurre, charcuteries et autres aliments gras d’origine animale. Substituez-les par des huiles végétales pressées à froid, notamment l’huile d’olive cœur de régime méditerranéen, qui transforme le cholestérol en agent anti-inflammatoire.

Même les amateurs de chocolat trouvent leur compte avec une consommation mesurée de chocolat noir riche en flavonoïdes. Ce chocolat a démontré son efficacité pour baisser le mauvais cholestérol. Pour approfondir ce sujet, découvrez cette huile d’olive à moins de 7 € qui est vantée pour ses nombreux bienfaits cardiaques.

Adopter un style de vie actif

Au-delà de l’assiette, le mouvement quotidien s’impose comme second pilier stratégique fondamental. Se balader, danser, courir ou simplement privilégier l’escalier aux ascenseurs insuffle un rythme cardiaque bénéfique. Cela mobilise davantage de HDL.

Intégrer des sessions courtes mais fréquentes durant la semaine synergie positivement nombre de processus métaboliques. Gym douce ou intense, notez que l’engagement et la constance priment avant toute performance olympique.

Intégration progressive de nouvelles habitudes

Changement radical sinon irréaliste, mieux vaut préférer acquisitions commodes favorisées sur le long terme. Le développement personnel des approches sensorielles telle la pleine conscience nourrit l’esprit tout autant que l’effort physique redéfinit combien nous respectons notre enveloppe corporelle.

Soyez attentif envers vos humeurs, prenez plaisir dans ces moments garantissant une résistance accrue face au stress, l’ennemi sournois dérangeant fréquemment nos progrès biologiques.

Impact potentiel de méthodes complémentaires

Des infusions herbacées employant le thé vert, fêté mondialement pour ses propriétés épuratoires supplémentaires, démontrent leur intérêt prolongé si intégrées intelligemment. Tandis que certains compléments alimentaires plaçant phytostérols tels ail ou levure rouge complètent le combat sempiternel contre le LDL rebelle.

La recherche clinique continue d’évoluer quant à l’éclairage fourni concernant la supériorité d’une méthode précise. Cela dépendra toujours de mesures spécifiques propres aux individus consultés auprès de spécialistes.

L’importance de l’individualisation des traitements

Puisqu’aucun protocole universel n’existe, combiner l’allopathie avec les suggestions précitées renforce les interactions organiques. Objectiver vide les frustrations car connecté purement chimiquement.

Cependant, c’est là où un discernement contextuel par le conseil professionnel assure le lien santé à travers un suivi personnalisé. Ne passez pas directement aux changements brusques sans préparation  !

Crédit photo © LePointDuJour


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