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Face à la hausse des prix de l’énergie, la Prime énergie est devenue un soutien encore plus crucial pour les ménages à faible revenu. Cependant, en 2025, le gouvernement ne le versera pas automatiquement…
La Prime énergie tient toutes ses promesses
Comme son nom l’indique, la prime énergie permet de réduire le poids des factures énergétiques. Il permet ainsi de libérer une partie du budget pour d’autres besoins essentiels comme l’alimentation, l’éducation, la santé et le logement.
Le chèque énergie, initiative gouvernementale, vise donc à lutter contre la précarité. Et ce, en prenant en charge une partie des dépenses énergétiques des foyers modestes.
Cela contribue donc à garantir un niveau de vie décent pour tous. L’éligibilité se veut ainsi déterminée en fonction de la composition du foyer et du revenu fiscal de référence.
Avec des montants adaptés au nombre d’unités de consommation et au niveau de revenu annuel. Contrairement à d’autres aides, la prime énergie est attribuée automatiquement.
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En effet, l’administration fiscale identifie les bénéficiaires éligibles et leur envoie le chèque par courrier, sans démarche à faire. La date limite d’utilisation du chèque reçu en 2023 est fixée au 31 mars 2024.
Les envois avaient commencé le 2 avril, selon un calendrier départemental. Cependant, certains ménages éligibles n’ont pas reçu leur chèque.
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Les règles changent en 2025
La prime énergie destinée aux ménages modestes pour alléger leurs factures de gaz, d’électricité, ou même de bois sera de retour en 2025. Il peut s’utiliser pour financer des travaux de rénovation énergétique dans le cadre de la transition écologique.
En 2025, cette aide s’adresse donc en priorité aux foyers aux revenus les plus faibles. Pour être éligible, votre foyer doit répondre à certains critères de revenu fiscal de référence (RFR) par unité de consommation (UC).
En 2025, le plafond de revenu se verra fixé à 11 000 euros de RFR par UC. L’unité de consommation, ou UC, mesure la taille de votre foyer : 1 UC pour le premier adulte du ménage, 0,5 UC pour la deuxième personne, 0,3 UC pour chaque personne supplémentaire.
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En fonction de ces critères, l’administration fiscale détermine donc automatiquement votre éligibilité. Sauf en cas de changements récents dans votre situation fiscale.
Par exemple, un couple avec deux enfants peut bénéficier de la prime énergie si son RFR est inférieur à 23 100 euros. Le montant de la prime énergie varie en fonction des revenus et de la composition du ménage, et se situe en moyenne entre 48 euros et 277 euros.
Cette aide, bien qu’elle puisse paraître modeste, se veut calculée pour répondre aux besoins énergétiques des foyers modestes. La prime énergie se veut utilisable pour payer les factures de chauffage ou pour l’installation d’équipements économes en énergie.
Qui sera éligible en 2025 ?
En plus des factures énergétiques, la prime énergie peut financer des travaux de rénovation énergétique. Cette mesure vise donc à encourager les ménages à améliorer l’isolation de leur logement, à remplacer leur système de chauffage.
Ou à installer des équipements économes en énergie. La prime énergie peut donc se cumuler avec d’autres aides, telles que MaPrimeRénov’ ou les primes CEE (certificats d’économies d’énergie).
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D’habitude, la prime énergie se voit envoyée automatiquement aux foyers éligibles en fonction des informations fiscales. Généralement au printemps.
Si vous pensez être éligible, mais n’avez pas reçu votre prime, il se veut possible de vérifier votre situation sur le site officiel dédié. Aucun formulaire n’est nécessaire pour les foyers déjà identifiés par l’administration fiscale.
La prime énergie se veut un soutien crucial pour les ménages en situation de précarité énergétique. Que vous soyez locataire ou propriétaire, cette aide peut réduire vos factures ou contribuer à la rénovation de votre logement.
Assurez-vous de connaître vos droits pour ne pas passer à côté de ce soutien en 2025. Et n’hésitez pas à cumuler les aides pour maximiser vos économies d’énergie.