NASA découvre une masse géante sous le bassin Pôle Sud-Aitken, le plus grand cratère de la Lune

NASA signale une anomalie sous Pôle Sud-Aitken pouvant cacher un tube de lave. Vers un abri lunaire à 17 °C pour futures missions.

Voir le sommaire Ne plus voir le sommaire
Rejoindre notre Groupe WhatsApp

La NASA rapporte un signal intrigant venu des entrailles de la Lune. L’indice, discret mais persistant, relance l’hypothèse de cavités naturelles capables d’abriter de futures missions humaines.

Ce que révèlent les dernières images de la NASA

Les nouvelles analyses croisent des vues haute résolution et des relevés thermiques. Ainsi, un puits d’effondrement montre des parois nettes et une zone d’ombre profonde. De plus, la géométrie de l’éclairage laisse penser à un surplomb. En bref, l’obscurité suggère un volume vide sous la surface.

Les mesures indiquent une ouverture de l’ordre de 50 à 100 mètres. Pourtant, la profondeur exacte reste à préciser, même si elle dépasse probablement 30 mètres. En revanche, la forme en « entonnoir » s’aligne bien avec un tube de lave ancien. Aussi, la rétention thermique nocturne conforte cette lecture géologique prudente.

À découvrirTrou noir de la Voie lactée: la NASA confirme un réveil à 26 000 années-lumière

Les équipes proposent un scénario simple. Par conséquent, un toit de lave se serait partiellement affaissé, révélant une entrée vers un réseau souterrain. La NASA garde toutefois une réserve méthodologique, car un bloc massif ou une coulée visqueuse fossile peuvent imiter ce signal. Cependant, l’ensemble des indices pointe vers une cavité naturelle prometteuse.

« Cette anomalie sous la surface pourrait être un tube de lave, mais des mesures supplémentaires sont nécessaires. »

Pourquoi cette piste change la donne pour la NASA

Ainsi, une grotte protégerait des extrêmes thermiques à la surface. De plus, plusieurs modèles suggèrent des températures proches de 17 °C en profondeur. Par conséquent, un habitat placé sous un toit rocheux gagnerait en stabilité. En bref, cette option réduit la consommation d’énergie pour le contrôle thermique.

La poussière abrasive et les micrométéorites posent des risques réels. Pourtant, une cavité naturelle fait barrière au rayonnement et aux impacts. Aussi, la logistique de surface devient plus simple, donc plus fiable. Par conséquent, un site de grotte pourrait faire baisser la masse d’équipements à convoyer.

  • Ouverture estimée: 50–100 m
  • Profondeur probable: >30 m
  • Température interne possible: ~17 °C
  • Protection contre radiations et micrométéorites
  • Coordination opérationnelle avec la NASA à affiner

Les scientifiques restent vigilants sur les biais d’interprétation. Ainsi, l’angle du Soleil change les ombres et trompe l’œil. En revanche, des séries d’images sur plusieurs saisons réduisent ce risque. Désormais, la priorité consiste à confirmer le vide par des méthodes indépendantes.

Méthodes et données sous contrôle NASA

Le cœur de l’enquête s’appuie sur Lunar Reconnaissance Orbiter. De plus, les caméras LROC dissèquent les reliefs à l’échelle du mètre.

Crédit photo © LePointDuJour


Partagez votre avis