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En plein cœur de la saison, le fruit d’hiver fait débat. Des contrôles récents pointent un risque de résidus sur ce panier quotidien. Vous cherchez des repères clairs pour vos achats familiaux.
Ce que révèlent les contrôles sur le fruit d’hiver
Les derniers bilans relayés par la presse citent un cas marquant. Selon ces données, jusqu’à 87% des clémentines analysées portent au moins un résidu. Ce chiffre vise surtout des fruits traités après récolte. Ainsi, ce fruit d’hiver demande une préparation soignée.
Ces résultats s’appuient sur des contrôles officiels et des tests comparatifs. La majorité reste sous les LMR, fixées pour protéger la santé. Cependant, des cocktails de molécules peuvent exister. Pour un fruit d’hiver, la question n’est donc pas théorique.
Pourquoi les agrumes, star du fruit d’hiver, sont-ils traités?
Pourquoi les agrumes sont-ils si exposés en hiver? Les traitements antifongiques prolongent le transport et la vente. On cite souvent imazalil et thiabendazole. Pourtant, la chair de ce fruit d’hiver est moins touchée que la peau.
« Mieux informer permet de choisir sans renoncer aux plaisirs de saison. »
Faut-il s’alarmer pour autant? Les autorités rappellent que les limites tiennent compte des usages. En revanche, les jeunes enfants et femmes enceintes méritent une attention plus forte. Ce repère aide à adapter la consommation de fruit d’hiver.
Comment réduire l’exposition sans renoncer au fruit d’hiver
Que faire au quotidien pour profiter du fruit d’hiver? D’abord, rincez soigneusement sous l’eau froide 30 secondes. Brossez la peau, puis essuyez avec un papier propre. Par conséquent, jetez le zeste si l’étiquette mentionne un traitement de surface.
- Choisir du bio quand le budget le permet.
- Privilégier des lots étiquetés “non traité après récolte”.
- Alterner les origines pour limiter les habitudes.
- Laver, brosser, puis essuyer chaque fruit.
- Varier le fruit d’hiver avec d’autres fruits de saison.
Le calendrier peut aussi aider. Ainsi, alternez fruit d’hiver et fruits stockés localement, selon arrivages. Demandez en rayon si un traitement post-récolte est appliqué. Aussi, évitez les zestes quand l’information manque.
À découvrirChampagnes de supermarché: l’UFC-Que Choisir épingle 5 marques à éviterVous cuisinez pour des enfants? Dans ce cas, servez la chair, bien rincée et pelée. De plus, variez avec des poires, kiwis ou pommes selon la saison. Le bon sens guide chaque geste.
La liste noire et les repères pour le fruit d’hiver
Plusieurs familles reviennent souvent dans les bilans européens. On parle des raisins, des fraises, des pommes ou des herbes fraîches. Cependant, les niveaux varient selon l’origine et l’année. En bref, aucun rayon n’est totalement uniforme.
Pour limiter l’exposition, variez les achats sur la semaine. Par conséquent, mixez fruits entiers, compotes maison et surgelés natures. Ensuite, favorisez des légumes de saison simples à rincer. Votre panier gagne en diversité.
Réponses pratiques pour bien choisir son fruit d’hiver
La peau concentre souvent l’essentiel des résidus. Par chance, la chair reste moins exposée après pelage. Ainsi, peler réduit déjà une partie du risque. Lavez-vous les mains après préparation.
Vous aimez le zeste en cuisine? Choisissez du bio et un filet mentionné non traité après récolte. Sinon, remplacez le zeste par du jus pressé. Cette astuce garde le goût, sans prise inutile, surtout avec un fruit d’hiver.
Le budget compte aussi. Comparez les formats, et prévoyez des menus souples. De plus, stockez au frais et à l’abri de l’humidité. Votre fruit d’hiver gardera ses qualités plus longtemps.
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